Vous souhaitez visiter le Lot, Saint Céré et ses alentours, faire de la randonnée, trouver un hôtel, un camping ? 
En plus des renseignements que vous pourrez glaner auprès de l'Office du Tourisme, vous avez la possibilité d'aller visiter le site du Pays de Saint Céré en cliquant sur la bannière supérieure. 

L'HISTOIRE DE SAINT CÉRÉ ET DES ENVIRONS 
Peuplée dès le néolithique, la région de Saint Céré ne s'organise autour de la ville actuelle qu'au 8 ème siècle de façon certaine. Le nom de la cité trouve ses origine dans l'histoire du martyre de Sainte Spérie, fille de Sérénus, Duc d'Aquitaine. Sérénus après avoir érigé une forteresse sur le célèbre promontoire, donna sa fille en mariage à Elidius, le seigneur de Castelnau. Mais Spérie, consacrant sa vie à Dieu refusa et s'enfuit le jour des noces. Punition suprême, son frère lui coupa la tête. Alors selon la légende un miracle s'accomplit : la jeune fille se leva, prit la tête entre ses mains et alla se baigner dans une fontaine toute proche. C'est en ce lieu que fut construite l'église Sainte Spérie. Quant à la ville elle tire donc son nom de Cérénus ! Entre la guerre... 
   
Saint Laurent les Tours 
Le village de Sérénus, perché sur la colline au pied de son château, a compté jusqu’à dix huit cents sujets. C’est alors que les habitants décidèrent de descendre vivre dans la plaine. Au XIIème siècle, ils construisirent un nouveau village.
Celui-ci devint plus important que celui accroché aux pentes de la forteresse (le château) et prit le nom initial de Saint-Sérénus.
Il y eut deux villages distincts du même nom et à quelques centaines de mètres l’un de l’autre. Mais il arriva qu’ils devinrent rivaux et le clergé fut donc obligé de créer une nouvelle paroisse. La plus peuplée prit le nom de la forteresse (Spérie de Sérénus) et celle du château prit le nom
 

LES HOMMES CELEBRES A SAINT CÉRÉ 
Jean Lurçat né à Bruyères le 1er juillet 1892, mort le 6 janvier 1966 à Saint-Paul de Vence. est un rénovateur de la tapisserie contemporaine. Il fut étudiant à Épinal puis à Nancy.
Il était membre des Académies de Sciences et des Beaux-Arts de France, de Belgique et du Portugal, président du cercle d'information de la tapisserie ancienne et moderne.
Il reçut sa première commande officielle qui fut tissée de la manufacture des Gobelins en 1936 (Les Illusions d'Icare). En 1939, il s'installa à Aubusson dans la Creuse. Il y créa des œuvres importantes en collaboration avec le lissier François Tabard, et relança les ateliers de tapisserie d'Aubusson...
 
Pierre Poujade (Saint-Céré, 1er décembre 1920 - La Bastide-l'Évêque, 27 août 2003) était un homme politique français et un leader syndical qui a donné son nom au poujadisme, mouvement qui réclame la défense des commerçants et artisans et condamne l'inefficacité du parlementarisme tel qu'il était pratiqué dans la IVe République.
Pierre Poujade était le cadet de sept enfants qui dut interrompre ses études au Collège Saint Eugène d'Aurillac, à la suite du décès de son père, architecte. Après avoir "tâté" de divers métiers comme apprenti typographe, moniteur d'éducation physique, docker ou goudronneur, il fut, durant la guerre, un membre éphémère d'un mouvement de jeunesse, les Compagnons de France, avant de rejoindre la Résistance. A Alger, il épousa, en juillet 1944, Yvette Seva qui lui donnera cinq enfants. A la Libération, il devint représentant en livres religieux puis s'installa comme libraire-papetier dans sa ville natale (d'où son surnom « le papetier de Saint-Céré ») dont il fit partie du conseil municipal.
Pierre Poujade accède brutalement à la notoriété en 1953 lorsqu'il prend la tête... 
 

Et bien d'autres ont vécus à Saint Céré comme :